Cette révélation scientifique sonne, du coup, le glas des décennies de mystère régnant autour du triangle de Bermudes, l’un des plus grands de la région caribéenne.
Il n’existe ni d’extraterrestres, ni d’anomalies dans cette zone, mais plutôt une grande quantité de méthane éjecté à la surface, diminuant la densité de l’eau et provoquant l’instabilité dans les systèmes de fonctionnement des matériels de transports, indiquent les spécialistes.
Des monstres marins gigantesques, des activités anormales, des objets volants non identifiés (Ovni), étaient, entre autres, les supposées causes avancées, avant cette découverte, pour expliquer la disparition mystérieuse de navires et d’aéronefs dans cette zone située entre les Bermudes, Porto Rico et la Floride (Etats-Unis d’Amérique).
Les banques de gaz dans les volcans créent d’énormes bulles, se développant géométriquement tout en gagnant de l’altitude, soutient un média américain.
Ainsi, tous navires pris dans ce ballon à gaz perdent-ils immédiatement d’équilibre et de flottabilité, puis s’effondrent-ils par la suite.
Cette légende a commencé en décembre 1945, quand des groupes d’avions militaires ont commencé à disparaître, de manière inexplicable, avec des hommes.
Ce qui a soulevé l’intérêt de chercheurs et spécialistes considérant, comme statistiquement élevée, la quantité de navires et d’avions perdus dans la zone durant des décennies, comparativement à d’autres zones de l’océan.
Ce mythe est tellement alimenté par des livres, des chansons, des films, que certains spécialistes qualifient le triangle de Bermudes de réussite commerciale.
Appelée aussi « triangle du Diable », la région concernée est aujourd’hui l’une des routes les plus fréquentées au monde